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Nous voici à nouveau réunis pour cette semaine à COURCHEVEL organisée par l’ACSCF (Association des Clubs des Skieurs Cheminots Français) dont Jean Pierre REYNAUD et Denis LEBOULLENGER sont les chefs d’orchestre.

Le chalet du SCE étant réservé de longue date par les Basques et les Toulousains, la petite équipe du SCE trouve refuge au Chalet du PRAZ appartenant à nos amis de l’association Le PRAZ LA MILLETTE (APM).

Pour une bonne partie de la semaine nous avons Marie BACELON, Nicolas LASMAN qui fait ses débuts, Michèle ABDON STANKOVIC qui revient enfin après trois saisons de galères (blessures), Luc MARTAUX et moi même. Pour le week-end, nous avons Christian NOJAC et Delphine LAGARDERE. Alain PATE ne pourra pas nous rejoindre, à son grand regret, suite à des soucis personnels (accident de voiture avec blessure légère).

Le voyage commença avec une petite surprise dans le train où une famille complète avait pris ses quartiers dans " notre compartiment ". Alors, à qui la faute, au vendeur ou à la belle-mère qui s’est trompée de date. Cela ne nous empêcha pas d’arriver à bon port où un ciel bleu nous accueillait.

Slalom géant sur le stade de 1850 organisé par les Dijonnais. Beau temps, neige excellente, piste de rêve. Tous les ingrédients étaient réunis pour garder un excellent souvenir de cette course. De plus le SCE remporte le classement par équipe (2 hommes + 1 dame). Marie ayant remporté le Géant, elle paye sa tournée le soir au Pub, où la musique fut assez bruyante. Pendant ce temps Denis se rappelait à ses bons souvenir de Baby-foot en mettant une tôle à la doublette du CSCP.

Slalom géant et spécial sur le stade de 1850 organisés par le CSCP. Les conditions de neiges et climatiques sont les mêmes. Tous le monde commence à rêver d’une semaine sans nuage, ce qui serait une sacrée revanche par rapport à l’année dernière (6 jours de neiges cumulées=1m50). Marie réalise une très belle course en géant. En slalom je loupe le podium pour 15 centièmes. Cependant après la course, personne ne s’est rendu compte que Nicolas n’avait pas pris le départ, lorsque l’organisateur nous apprenait qu’il était au centre de secours. Lors de notre arrivée au centre, nous avons juste eu le temps de lui dire 3 mots, et il partait illico en ambulance à Chambéry pour se faire opérer. Que s’est-il passé ? Lors de sa première descente d’échauffement, Nicolas sentit une fatigue à son genoux et chuta en s’arrêtant. Il n’ira pas plus loin. Résultat : tibia fendu dans sa longueur en partant du genoux. Nicolas, on te souhaite un bon rétablissement, et on te donne rendez-vous pour l’année prochaine.

Slalom spécial sur le stade de 1850 organisé par l’USCORG. Les conditions n’ont pas bougé. Pour un début de saison, Michèle nous gratifie d’un podium. Ca faisait longtemps, quel plaisir de te revoir à ta place, surtout que maintenant avec Marie et bientôt Isabelle, Denis ne te demandera plus d’assurer tes courses pour le classement par équipe. Il faut savoir que beaucoup de clubs commencent à nous envier d’avoir 3 outsiders, et en plus d’avoir 4 filles (Isabelle qui pouponne et Delphine qui progresse). Au classement 2 hommes + 1 dame, le SCE remporte la Coupe. Cette journée fut pleine de surprises. Notre cher Président GARZARO rendit une petite visite à ses troupes en soirée, et pour nous féliciter de nos résultats, nous invita à l’accompagner autour d’un verre de Génépi. Merci Président.

Slalom Géant sur le stade de 1850 organisé par les Toulousains et un slalom spécial organisé par les Savoyards. Les conditions climatiques sont toujours de notre côté avec un léger réchauffement. Que dire des résultats, à part " Luchio " qui nous étonne de course en course. A chaque départ il doit gagner 1 seconde, et à ce rythme, il va rentrer dans le deuxième tableau. Attention Luchio, si tu gagnes plus de 100 points dans la saison, c’est la caisse de Champagne !

Le meilleur moment de cette journée fut la traditionnelle course de luge qui sera gagnée par Elisabeth DYSKIEWICZ de la Société Générale (c’est leur spécialité), et notre camarade Toulousain Laurent GIRAUD.

La seule fausse note de cette édition est l’accident spectaculaire d’Alain CRIOSI du CSCP, qui n’a pas pu s’arrêter après la perte de contrôle de sa luge (test d’alcoolémie par la gendarmerie=zéro gramme). Sa course folle s’arrêta net avec les deux pieds en avant sur un sapin. Bilan : fracture talon-cheville à droite, fracture cheville à gauche. Marie fut assez triste de voir son " cavalier " partir avant la soirée dansante de jeudi (Alain est originaire des Antilles et il est le roi du ZOUK).

Pour le SCE cette journée n’était pourtant pas finie. Invités à boire l’Apéro au Chalet du SCE, nous nous sommes retrouvés à manger Basque, à boire Basque, à parler Basque, à digérer Basque. Il était normal de se retrouver avec les Basques en Fiesta. Une fête qui s’est soldé par un coucher à 4h du matin, surtout que le lendemain c’est la course du SCE, mais heureusement avec un départ à 13h30. Ouffffffff…

Slalom Géant en deux manches sur le stade de 1650 organisé par le SCE. Il fait toujours beau, pas un nuage, pas un pêt de vent. Le pied total. Comme à son habitude la piste des Rochers fit beaucoup de dégâts aux coureurs dont le physique était limité, et aux fêtards… Ceux qui découvraient la piste s’en rappelleront encore longtemps. Le géant fut remporté par le nouveau Champion de France USCF 2004. Jean Baptiste DISETTI est un ancien coureur de l’équipe nationale de réserve (1990 – 1995) qui revient courir pour s’amuser (NDLR). Il travaille maintenant comme agent mouvement à Modane et nous a promit de ramener quelques copains l’année prochaine (ca sent le chaud au comité SEM !).

En soirée un slalom parallèle nous attendait au pied de la piste éclairée de St Agathe à 1650. Une pleine lune commençait à se dessiner dans le ciel qui s’assombrissait. Le paysage était magnifique, paradisiaque. Pour leur plus grand plaisir, les bénévoles ont été conviés à mettre un dossard et concourir entre-eux sur ce slalom parallèle. Tous ont joué le jeu jusqu’à la victoire finale de Serge VIDAL du BASC.

Pour les coureurs, le juge au départ ,n’était autre que Pierre GEORGES, notre Belge National. Malgré les coureurs qui manquaient souvent à l’appel, Pierre a su garder son sang froid toute la soirée. Un accident a malheureusement retardé le déroulement de l’épreuve : Elisabeth DISKIEVICZ, de l’UASG est tombée dans l’aire d’arrivée et s’est fracturé l’humérus. Elle a été rapidement secourue, emportée à l’hopital pour une opération urgente, et rapatriée à Paris dans de bonnes conditions. Puis arrivait enfin la finale, qui réunissait les deux meilleurs cheminots actuels : Patrice TARTARAT et Jean Baptiste DISETTI. Patrice avait perdu la finale l’année dernière face à Jean Michel TOINET, aussi avait-il soif de revanche. Il fit un départ canon et pris un mètre d’avance dès le départ, mais son excès de précipitation lui fit enfourcher la deuxième porte. La victoire finale revenait donc à Jean Baptiste DISETTI.

Après le parallèle, tout le STAFF technique (bénévoles, juges, organisateurs) et la soixantaine de coureurs se sont retrouvés au Pub-Bar-restaurant le " KALICO " pour une soirée tranquille. La fatigue se ferait-elle sentir ?

Slalom Géant en deux manches sur le stade de 1850 organisé par l’ASCO. Il fait encore beau, il ne fait pas froid. Bonnes moissons du SCE, Marie 2^ème et moi 3^ème. On loupe le Challenge pour un pouillème de points (qu’est-ce tu fous Denis, il faut se bouger !!!).

En soirée nous avions rendez-vous au " KALICO " pour la remise des prix de la semaine. Le clou du spectacle est le classement au combiné. L’année dernière Delphine LAGARDERE avait gagné car elle était la seule à avoir fini toutes les courses. Cette année toutes les filles ont au moins manqué une course. Un système de pénalité a permis de classer tout le monde. Cela n’a pas empêché Michèle de finir troisième. Cette place récompense un retour à un niveau acceptable, et promet une fin de saison terrible. Bravo " clap,clap,clap,clap,clap,clap ".

Huit hommes ont réussi l’exploit de terminer toutes les courses, et le trophée de vainqueur de la semaine a été remis à Christophe RIBET de l’USCORG. Celui-ci a aussi brillamment terminé la course du lendemain, sans baisser de rythme, pour asseoir sa suprématie et confirmer son résultat sportif. BRAVO !

Ensuite un Apéritif nous fut gracieusement offert. Claude GIULIANI nous offrit une belle figure en voulant s’asseoir sur un bord de table en bois qui céda sous sa force. Impressionnant ! Il ne restait plus que des cure-dents…

Slalom Spécial sur le stade de 1850 organisé par les Basques. Il aura fait beau et doux toute la semaine. Le SCE finit la semaine avec deux podiums, avec Denis qui retrouve sa rage d’antan, et nous pête des résultats à se classer cinquième meilleur cheminot du comité d’Ile de France de la semaine, et un Luchio toujours aussi jovial et bon vivant. Quel plaisir !

Je vous dis à bientôt et je vous donne rendez-vous dans notre prochain bulletin, dans lequel nous n’oublierons pas de narrer cette fin de saison qui s’annonce particulière…

Vivre une fois la semaine de courses à COURCHEVEL !

Du 31 janvier au 6 février, le chalet de la CORBIÈRE a vécu au rythme d’une ruche en effervescence, car il se tramait quelque chose a COURCHEVEL chez les cheminots.

" L’Association des Clubs de Skieurs Cheminots Français " dont notre ami Denis LEBOULLENGER fait partie organise pour la deuxième année avec brio cette fameuse semaine de courses. Denis a un sacré courage, car il porte une double casquette : comme si l’organisation ne lui suffisait pas, il pimente cette semaine en participant en plus comme coureur, bravo !

L’an dernier, il me demandait si j’étais intéressé comme bénévole, et j’ai répondu présent. Cela m’a donné l’occasion de redécouvrir un plaisir chaleureux que j’avais connu quelques années auparavant lors d’un USCF à SAMOËNS, qui m’avait permis de faire la connaissance d'un sacré personnage bien connu de vous tous "  Raymond BAUDRAND " que je salue au passage, et sans qui je n’aurais jamais connu le SCE. Merci Raymond !

L’an passé, le beau temps n’était pas au rendez-vous. La neige et le froid faisaient partie du menu quotidien pour les courses. Denis en tant que coureur sait ce que veux dire anticiper : pour cette année, il avait fait des recommandations au " Père Noël " qui l’a entendu : un ciel tout bleu nous a accompagné toute la semaine. Que rêver de mieux avec en prime une neige excellente !

En temps que bénévole, je me fais chaque fois plaisir. Je fais des rencontres très enrichissantes et retrouve des amis. Pour le SCE nous étions une équipe de six bénévoles : Christian GARZARO, Romain IDASIAK, un duo de Claude "  GIULIANI et FORTICAUX " Roland GAGIN et moi-même, tous très dévoués pour la bonne réussite de cette semaine.

Les courses se sont déroulées sur le stade de slalom à 1850, sauf le mercredi. Le SCE organise sa course sur la piste des rochers de 1650, très belle piste, très nature et appréciée par de nombreux coureurs. Le soir un slalom parallèle en nocturne organisé par l’ACSCF est arrosé d’un bon vin chaud.

Comme pour aller à " l’usine ", le réveil est à 7 heures, un bon petit déjeuner, puis par le chemin de travers, nous prenons le bus de 8h30 à la piscine. Les plus courageux prennent le sentier, et à 9 heures nous sommes prêts sur les pistes afin de donner un coup de main pour le traçage du slalom. Une fois terminé, quelques descentes et puis c’est le rendez-vous au sommet 30 minutes avant le départ. Le chef contrôleur nous remet les plaquettes de contrôle, nous attribue nos portes et on s’installe.

Une tâche pas toujours de tout repos, mais très captivante. Aux premières loges, on vit la course en direct, on se prend au jeu, on encourage les coureurs. Quelques fois on râle sur un piquet qui se sauve à force d’être matraqué par ces " sauvages " qui mettent tout leur punch dans l’effort. Celui-ci ne veut plus tenir, il est arraché, il faut le rattraper, le remettre à sa place sans tarder car le coureur suivant va arriver, et cela dix fois de suite. Enfin arrive notre sauveur, armé de sa perceuse, il rétabli la situation, ouf ! Il faut être très vigilant tant sur la course qu’a côté, et arrêter certains skieurs inconscients qui veulent braver les interdits et les filets rouges, pour traverser la piste en pleine course. La manche terminée, tous ensemble on aide au détraçage.

Le midi les bénévoles se retrouvent autour d’un bon casse-croûte bien convivial, et c’est reparti pour la suite du programme. A tout cela s’ajoute un peu de temps libre que l’on met bien à profit, et voilà une journée bien remplie qui s’achève, laissant la place à la soirée qui se prépare au chalet et qui ne sera pas triste.

Cette année des coureurs et bénévoles des clubs BASC et TCMS partagent notre chalet. Les Basques investissent les lieux. Dans la salle à manger totalement rénovée et qui est magnifique, ceux-ci ont arboré leur drapeau sur la moitié d’un mur ; on est fier de ses racines ou on ne l’est pas !

Pour mettre de l’ambiance, ces joyeux bougres ont plus d’une idée dans leur sac, et particulièrement la soirée du jeudi. Tout le monde était convié, même notre voisin Jean Marc et son épouse qui vivent toute l’année à la Corbière, ont participé au dîner basque, qui était très réussi.

La vallée de la Corbière a vibré, les chants " a cappella " très appréciés, même jean Marc nous a gratifié de ses talents cachés de chanteur savoyard. Ils avaient tout prévu ces diables, même les CD ! la nouvelle radio avec lecteur CD de la salle à manger à fait des merveilles, le plancher a été testé : il est solide ! Au chalet de la Corbière il y a de la vie et on s’amuse bien !

Cette soirée chaleureuse et sympathique a même donné quelques idées à certains, qui envisageraient de renouveler cela plus souvent.

Je félicite particulièrement les coureurs du SCE pour leurs très belles prestations. Dans ces conditions vous comprendrez que je dise : à l’année prochaine, et merci pour tous ces bons moments passés en votre compagnie !

Pierre GEORGE " le Belge " , personne n’est parfait…

Bien sur, j’ai eu grand plaisir a participer à l’organisation de cette 2^ème édition de la semaine de courses avec Jean Pierre REYNAUD. Tout a été plus facile. On a repris les mêmes ingrédients que l’année dernière. La station de COURCHEVEL nous offre les meilleures possibilités. Nous avons eu droit à une piste type " Coupe du monde " avec une aire d’arrivée somptueuse (l’arche de 4m de haut et les coussins de protection). Le nombre de bénévoles a été légèrement supérieur à l’année dernière, preuve de l’intérêt, de l’engagement et du dynamisme des clubs. le Président GARZARO et les 5 autres bénévoles du SCE ont eu le plaisir de voir les coureurs de leur Club réussir des belles performances. L’ambiance au chalet de La Corbière a été excellente avec la réunion des Basques et des Toulousains.

Toutes les courses prévues au programme ont pu se dérouler normalement. En alternant les journées à une course avec les journées à deux courses ; je crois que nous avons trouvé la meilleure formule qui doit satisfaire le plus grand nombre de coureurs.

Seul regret, le nombre de coureurs inscrits n’a que très légèrement augmenté par rapport à l’année dernière. Mais cela nous permet de boucler correctement le budget de cette organisation. N’oublions pas que le contexte actuel de la compétition en clubs d’entreprise est plutôt en régression. Depuis quelques années, le nombre d’organisation de course par des clubs d’entreprise ne cesse de diminuer, faute de participants. Serait ce un effet de mode ? Cette régression ne se ressent pas trop chez les clubs cheminots que nous connaissons, qui arrivent encore a recruter des nouveaux coureurs. Mais ce n’est pas toujours le cas des autres entreprises.

Je remercie chaleureusement les bénévoles de tous les Clubs qui sont venu passer cette semaine avec nous, dans un esprit de bonne camaraderie, de bonne humeur et sportif. Sans eux, la semaine proposée aux coureurs serait très différente. On a l’occasion de faire d’autre courses où l’on doit, en plus de s’occuper à préparer son matériel et sa tenue, se mettre à disposition des organisateurs pour assurer le contrôle des portes. Et ce n’est plus la même chose !

Je remercie particulièrement Gérard PORTE qui a officié comme délégué technique FFS toute la semaine, sauf mercredi (pour la course du SCE, Daniel DEPONGE du SCCS l’a remplacé). Non seulement Gérard sait parfaitement faire appliquer le règlement et assure le déroulement des courses sans aucune contestation, mais aussi, il prend le temps d’expliquer calmement et précisément les choses afin qu’elles soit bien comprises par tous. Les quelques juges " en formation ", dont je fais partie, pouvaient également profiter des cours gratuits dispensés par Gérard, en matière d’application des règlements, et de gestion des résultats par informatique.

La prestation globale offerte par le Club des Sports de 1850 a été parfaite. Jean Pierre FILSNOEL a désormais sous ses ordre une équipe efficace qui fonctionne à merveille. Nous avons profité de la nouvelle structure du stade de slalom a qui il ne manque plus que le bâtiment définitif pour accueillir le matériel de chronométrage. Celui-ci est attendu sous l’apparence d’un chalet en bois pour l’année prochaine. En attendant, les chronométreurs sont installés dans des bungalows provisoires. La station de COURCHEVEL confirme son intention de développer son image sportive en organisant des épreuves internationales ; il y aurait même un projet de Coupe du Monde…

L’ESF de 1650 suit le mouvement, et on peut le vérifier grâce au dynamisme de l’équipe de Patrick DUNAND qui nous a réalisé la course du SCE sur la fameuse piste des Rocher ; cette dernière est également en cours de transformation et d’équipement complémentaire en vue de mettre à disposition des coureurs un véritable stade adapté aux épreuves de vitesse (descente et super-géant).

Les coureurs et les bénévoles ont fortement apprécié la soirée du mercredi et le slalom parallèle en nocturne sur la piste de ST AGATHE à 1650. Nous devons encore remercier le personnel de la station qui a fait tourner le téléski une heure supplémentaire, afin de terminer notre concours ; en effet, un retard a été pris à cause d’un accident survenu à un concurrente (fracture du bras sur chute dans l’aire d’arrivée).

Bravo à COURCHEVEL pour cette politique dévouée au sport et à la compétition que nous adorons.

Forts de la réussite de l’édition 2004, nous sommes surs de pouvoir reconduire l’association ACSCF a une troisième organisation de cette semaine de courses en 2005 à COURCHEVEL.

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